NOTRE SOCIÉTÉ VEUT S’ORIENTER VERS UN MODÈLE ÉCONOMIQUE QUI PERMET DE SATISFAIRE, DE MANIÈRE DURABLE, LES BESOINS EN RESSOURCES DES CITOYENS, DANS UN CONTEXTE INÉDIT DE LUTTE CONTRE LE DÉRÈGLEMENT CLIMATIQUE ET DE PROTECTION DES RESSOURCES NATURELLES. CETTE TRANSITION ÉCOLOGIQUE EST À L’ŒUVRE DANS TOUS LES SECTEURS.
La normalisation y contribue largement, par une approche qui tient compte des spécificités de chaque acteur. Trois exemples sont ici cités :
Favoriser la transition énergétique
- Engager des démarches structurées pour mieux consommer l’énergie en combinant rationalisation et innovation.
- Permettre aux réseaux électriques d’intégrer « intelligemment » les productions renouvelables locales et les nouvelles consommations pilotées (mobilité électrique, climatisation, etc.) avec l’objectif de réduire drastiquement sur un territoire les émissions de gaz à effet de serre et gagner en résilience.
- Accélérer la baisse des coûts des technologies adaptées à la transition énergétique des pays en voie de développement.
Mettre en œuvre l’économie circulaire
- L’économie circulaire induit des ruptures organisationnelles et de nouveaux équilibres économiques et fait appel à de nouvelles méthodes : éco-conception, valorisation des produits et matières en fin de vie avec la gestion et le statut des déchets, économie de fonctionnalité, symbioses industrielles.
- L’économie circulaire nécessite un nouveau management global, qu’il faut mettre idéalement en œuvre de façon structurée, en s’appuyant par exemple sur des normes.
Préserver et favoriser la biodiversité
- La préservation de la biodiversité est un enjeu essentiel, qui dépasse les frontières et nécessite des outils de mesure de la dépendance vis-à-vis de la biodiversité ou de l’empreinte biodiversité des organisations et des activités.