Publié le 12/02/2016, mis à jour le 21/02/2019 à 09:50 Avec Théo, l’entreprise craque pour les normes volontaires !
Découvrez en vidéo l’histoire de Théo, jeune entrepreneur qui s’aperçoit du bien-fondé de s’impliquer dans l’élaboration des normes volontaires puis de les utiliser pour lancer son activité… et gagner en compétitivité.
L’informatique, Théo est tombé dedans quand il était tout petit. Aujourd’hui, Théo entreprend et monte sa start-up, Connect 2 Recycle. Son business model est simple mais redoutable : recycler de vieux ordinateurs pour en créer de nouveaux et les remettre dans le circuit, via une plateforme web. Pour se lancer dans cette aventure numérique responsable, Théo décide d’utiliser librement les normes volontaires AFNOR, nées des retours d’expérience et du partage des savoir-faire de fabricants, de prestataires, de consommateurs.
L’histoire de Théo est purement fictive. Mais, en en faisant une petite animation disponible sur Youtube, AFNOR explique, sur un mode ludique, que grâce aux normes volontaires, dont elle supervise l’élaboration avec le concours des milliers de petits Théo à l’œuvre dans les entreprises, cette fiction pourrait être parfaitement authentique ! En effet, contrairement aux idées reçues, les normes volontaires – qu’on apparente à tort à la réglementation – vont dans le sens du business et de l’entreprise.
Dans sa start-up, Théo découvre qu’elles sont un cadre de référence très pratique pour son organisation et son management, pour élaborer le design de ses produits informatiques, pour monter un service client de qualité. Au point qu’il finira par s’impliquer dans une commission de normalisation pour en élaborer d’autres et porter de nouveaux sujets ! Les normes volontaires font gagner du temps et de l’argent. Elles fixent des standards de qualité et de sécurité. Elles simplifient les échanges commerciaux nationaux et internationaux. Elles favorisent l’innovation.
Les normes volontaires AFNOR ont changé la vie de la start-up de Théo. Bientôt la vôtre ?